lundi 18 août 2014

[Retour de soirée] Concrete

Enfin !

Depuis le temps que ça existe, depuis le temps que je me promet d'y aller, depuis le temps que j'ai mieux à faire (ie : dormir, manger...) ! Concrete : check. Bilan ? Un peu de patience !

La Concrete, c'est un collectif qui a démarré des soirées électro alternatives (aux gros clubs) sur la capitale, en plein renouveau de l'électro. C'était il y a deux ans et demi.

Fort de leur succès, les soirées Concrete ont finalement pris résidence au club Concrete, quai de la rapée, face à la Cité de la Mode et du Design. L'originalité de ces soirées, c'est de s'étaler sur 24h et plus, à la façon berlinoise. Passer ce concept, reste-on "alternatif" lorsqu'on s'institutionnalise?

Mon expérience de ce samedi soir me ferai dire le contraire.


D'abord, la soirée était gratuite jusqu'à 22h, ie, jusqu'à 21h20 : personne dans la file d'attente, à partir de 21h30, tu peux presque oublier les places gratuites, après, c'est 15€. Pour nous, c'est passer sans payer.

Je ne vais pas m'attarder sur le staff assez désagréable, ni sur les boissons au tarif normal parisien, je vais tout droit vers le publique : il est typique des boîtes parisienne lambda : trop de gens bourré, trop friqué, trop m'a tu vu, trop réfléchi, trop de retenu.

Pour la musique, le soundsystem est très correct sans faire d'étincelle. Ce soir là, c'était hard-tech : pas vraiment ce que j'écoute en général, donc, difficile de juger de la qualité. Enfin, c'était dansant (mais super répétitif), pas de critique particulière.

Bilan (now, it's time) : la Concrete est un club parisien OK, moins bondé que le Batofar, plus dans la veine du Nuba - voir du Wanderlust - que des horreurs que sont le ZigZag ou le Social : ici, on a la place de danser et si les consos sont chères, elles ne demandent pas de vendre ses organes (surtout si l'entrée est gratuite). Cependant, on reste dans l'ambiance club de notre capitale - loin de l'alternatif, et... bon, disons que c'est moins mon truc. Bien, mais pas top.

Amour et Club Mate

Pala

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